Je songe au temps où la terre Vivait tranquille sans mers Océans, verdure, végatation Et où les violentes passions Destructrices, l’injustice La haine, l’intolérance Etaient inconnues, la paix Alors règnait sans sang versé. Faut-il que disparaissent Le hommes pour que renaissent La paix sur la terre aride, Sans vie, libérée des parricides.