La violence a ses prisons, ses camps, Ses geôliers, ses sadiques, ses martyrs Qui souffrent et meurent pendant Que dans l’insouciance et le rire Le monde égoïste, indifférent vit Sans penser à leur sort malheureux. La violence endémique qui nuit et sévit, Fière de ses exploits et des nombreux Martyrs poursuit avec détermination Et sans remords son macabre chemin En semant la haine et la destruction. Des vies et des morts, tel est le destin Du monde qui tristement avec le ciel noir Pleure toutes ses âmes parties en fumée Tout en ne perdant pas l’espoir de voir Un jour s’établir la fraternité et la paix!