Ce matin, un ciel brumeux gris M’accueille freinant mon esprit Qui voudrait la compagnie du soleil Pour m’inspirer à écrire dès mon réveil.
Hélas, les canons de la haine grondent Encor et les larmes du sacrilège coulent Dans un monde où la raison est bafouée Par la violence impie qui crucifie la paix.
Mon esprit voudrait vite se soulager De ce lourd fardeau en aidant l’humanité à fonder un monde basé sur une culture De tolérance, d’intégrité et de droiture.
Mon bon sens inné me dit d’éliminer Les systèmes totalitaires et de museler Les religieux qui utilisent le nom de Dieu Pour tuer, au lieu d’être miséricordieux.
Le soleil maintenant présent me sourit Et me rappelle la seule réalité de la vie Que l’éden rêvé n’existe pas sur terre Et la violence, non sanctifiée par Dieu le Père.