J’examine en silence mes pensées Face à la continuelle et cruelle réalité D’un monde terrorisé de voir que la vie Est tuée pour les vierges du paradis.
Et triste, je me demande comment Des hommes peuvent fallacieusement Glorifier le viol de la paix et utiliser La terreur pour intimider la liberté,
Si précieuse et chère à la démocratie. Ah quel mensonge! Ah quelle ironie Que de s’octroyer le droit de tuer En disant vouloir libérer l’humanité
Du mal que lui impose la païenne laïcité, Aux cris de liberté, égalité et fraternité. Mes pensées me disent que l’indifférence, Le silence tuent sans éliminer la violence
Et que le courage de la sagesse finira Par prévaloir un jour sur la terreur ici-bas!