Le signe est vivace, le cygne est vivant Dans le silence de la paix aléatoire Où les hommes meurent sans savoir Pourquoi sous l’orage des canons.
Les vestiges des carnages crient au soleil Des plaines et des vallées torturées, Les fleurs sans espoir recherchent la paix Dans l’indifférence des hommes et du ciel.
Le monde du silence conforte les morts Dans l’alignement des tombeaux criblés, La douleur perce le cœur des remords.
Le malheur, l’espoir recherchent l’amour De même que la terre, la folie des hommes Continue, le cygne prisonnier dans la tour.