Un sourire narquois, des yeux malicieux, Une longue, superbe, chevelure rousse, Une tête relevée d’un nez droit qui pousse La beauté de ton visage vers les cieux
Je te vois toi, belle séduisante, allongée Sur le sable fin, courtisant le ciel admirable Sur cette plage de Agami, lieu adorable Où l’air caressait tes seins sous le soleil d’été
Ô déesse indolente, qu’est-il advenue De toi, le soleil, la plage, le sable fin sont Toujours présents, hélas, tu as disparu,
Emportée par les alizés vers des terres Libres, le destin t’a forcé de trouver D’autres cieux qui admirent ta sérénité.