C’est ici que souffle le Khamsin vent Chaud et poussiéreux qui me forçait, Enfant habitant Héliopolis à fermer Les yeux et gâchait l’éveil du printemps.
Ce vent brûlant, guerrier, m’obligeait À rester à la maison pour me défendre Contre sa rage et m’a fait comprendre Que sa violence allait un jour cesser,
Ce qui m’aida à surmonter ma peur, À garder l’espoir et dans les moments Difficiles de la vie d’ignorer la rancœur.
Le Khamsin par sa durée m’a appris Que la vie survit à tout, que l’espérance Balaye les ennuis qui font partie de la vie.