Nul fleuve ne l’égale Irrésistible, majestueux Loué, béni des Dieux Le Nil part en voyage Souvent volage Victoria son amante Calme, avenante Le protège tendrement Son amour le rend Heureux, blanc, bleu En Nubie, le voilà en feu En passant les cataractes Il gronde, sans hâte Traverse le désert Tout droit, il est vert Son don, l’ Egypte Auparavant copte Aujourd’hui islamisee. Le voilà, calme, dirigée Vers la mer, delta devenu Son effort continu, Son voyage terminé Repos enfin bien mérité Dans la Méditerranée Elie Mangoubi