Souvent, je retrouve la douceur Et la sérénité de cet ilôt de verdure Au milieu de la cité et le bonheur De marcher en respirant son air pur Loin des bruits pernicieux de la ville. J'entends le gazouillement mélodieux Des hirondelles et calmement je siffle Pour exprimer mes louanges à Dieu D'avoir créer un univers diversifié, Harmonieux, ravagé malheureusement Par l'égoisme, la stupidité, et la rapacité Des hommes qui rejettent continuellement La sagesse divine comme pour affirmer Leur supériorité. Je reprends le chemin Du retour, heureux l'âme en paix Pour affronter les diffficultés sans fin De la vie et entendre les multipes bruits De la ville tout en respirant son air pollué. Je me dis que notre humanité se nuit En polluant et détruisant la nature sacrée Et qu'il faut multiplier les ilôts de verdure Pour éviter la destruction de l’humanité. Et que la création divine perdure.