Elle qui est toujours souriante, Calme, sereine, avenante Se mit à crier de douleur Quand par mégarde et malheur Ses mains vives comme l’ éclair Vinrent au contact du rechaud de fer Sa sérénité soudainement fêlée Laissait des larmes s’échapper. Ces cris déchirants de douleur Me fendaient le coeur. Ô comme à cet instant je haissais Cette douleur infligée A ma petite fille par cette belle Soirée d’été. J’implorais la cruelle De la laisser en paix tout en prenant Soins de ses mains et me rappellant La fragilité des choses, je compris Que ce crystal de pureté avait subi Les premières douleurs de la vie.