A peine ai-je ouvert mes yeux Que j’ ai vu tes cheveux soyeux Qui m’ivitaient à te caresser, Toi L’étrangère qui à côté de moi Etait allongée dans l’intimité De ce printemps illuminé Par ton appartion inattendue Où la réalité de ta présence nue Me réchauffait le coeur de ce beau Soleil qui m’ouvrait aussitôt Des horizons nouveaux. L’amour La pomme, la tentation de ce jour Le goût inoubliable du fruit Défendu m’attira et me séduit, Comment pourrai-je oublier Que tu m’as fait découvrir les secrets De ta grâce, guidés par la magie De tes doigts, de tes baisers Et de tes cheveux noirs dénoués. Le souvenir de ce moment Garde les marques du printemps Et de tes uniques empreintes Conservées comme des saintes Reliques dans la chaleur de ma foi.