J’entends le murmure du vent Sous le ciel bleu, le soleil présent Me rappelle que l’été est arrivé. La ville montre son corps bronzé Qui fait l’admiration des belles Néréides lesquelles sans ombrelles Se prélassent avec lascivité et sans Timidité au bord du lac Michigan. Une atmosphère joyeuse envahit Chicago et remplit mon coeur de vie. Je fredonne en admirant la nudité De ma ville, si agréable à voir l’été. Il se met à pleuvoir et rafraîchit Je rentre chez moi me mettre à l’abri, Tout content, j’écris de la poésie.