Le Nil coule toujours majestueux, Le Sphinx rêveur est silencieux Les Pyramides pleurent l’exode Des hébreux, une émouvante ode Nous rappelle le départ forcé Des juifs du Nil de ce pays aimé Où ne restent que des souvenirs, Loin de la terre natale, le rire Et les pleurs, les enfants ont grandi, Des souvenirs brumeux de la vie En Égypte demeurent, ravivés Chaque année en lisant la Haggadah Où dans la joie nous célébrons Pessah Et que vive la liberté loin de l’intolérance.