Dans le silence éloquent de la nuit Le sommeil endort tous mes ennuis Qui à l’aurore semblent plus légers. La journée a bien commencé, le café Servi j’écoute les nouvelles du monde, Rien de vraiment nouveau, la ronde De violence fait son habituelle tournée En s’attaquant avec férocité à la liberté.
Elle viole la démocratie à répétition Pour terroriser et soumettre les nations À sa volonté et ressusciter des lois Surranées qui nous privent de nos droits En nous disant quoi faire et que penser Elle nous prive de notre chère liberté.
Voilà la source de mes ennuis, la violence Qui sévit de jour et de nuit, la malveillance Qui s’attaque à l’humanité avec bestialité Sans jamais se questionner ou se fatiguer.
Alors, je me dis… Peut-on éliminer le mal et accéder au paradis Sur terre, hélas je ne le pense pas et ma vie Continue sans regret, en acceptant la réalité D’un monde imparfait vivant dans l’inégalité.
Adieu à l’utopie, ma pensée se lit dans ma poésie!