Abidjan, un nom qui me fait rêver, Vision de masques et senteur de café, A acceuilli Paul, mon écrivain ami Qui a quitté sa bien aimée Paris Pour affronter le climat chaud Et humide de la ville, au soleil haut.
Je le vois là-bas avec son oeil avisé Et son esprit lucide s’intéresser À tout et poser des tas de questions. J’attends avec de fortes émotions Son retour dans la ville lumière Pour recommencer notre journalière Correspondance toujours scellée Avec respect sous le sceau de l’amitié.
Cet alexandrin qui a dans le sang Le monde méditerranéen est avant Tout un homme d’une intégrité Absolue et d’une grande générosité.
Aujourd’hui je te salue et t’écris Merci, Paul Balta d’être mon ami.