À Nice, sur la promenade des anglais Au bord de la mer Méditerranée La joie de fêter en toute liberté Le quatorze juillet fut ensanglantée Par une attaque contre la démocratie, Du côté mer, des corps inertes, sans vie, Fauchés par un lourd camion blanc Qui a foncé sur d’ innocents passants Semant la pagaille et la terreur. Hélas, une fois de plus le malheur, L’horrible haine a frappé aveuglément Et le monde attristé, horrifié, choqué Se demande que faire pour éradiquer Ce mal terroriste qui avec barbarie S’attaque à notre mode de vie En voulant imposer une idéologie Unitaire fasciste qui rejette la tolérance, Nourrie par la haine, l’ignorance Perverse, elle doit être éliminée Pour que nous puissions continuer À vivre librement dans la fraternité.