Ô vous les profanateurs des tombeaux, Des cimetières, qui vous a donné le droit D’agir lâchement en dehors des lois Divines, civiles et de bouleverser le repos
Sacré des êtres partis pour l’éternité, Sous les regards du soleil, du ciel ahuris, Vous vous êtes acharnés à effacer, Ô infamie La mémoire sanctifiée d’hommes bien nés.
Au nom de quelle idéologie, de quelle religion Vous commettez des actes odieux, sacrilèges Et déchargez votre haine et viles émotions.
Ô vous qui ne connaissez que la perfidie, La violence, la sauvagerie, rappelez vous Qu’il faut honorer les morts et respecter la vie.