Où me conduit mon jardin, À prendre ce chemin Où mon cœur, mon esprit Font le tour de la prairie. Loin du brouhaha de la ville, Le soleil chaleureux brille Dans la douce sérénité Du lieu, je respire la liberté Tout seul et la rêverie M’invite à une autre vie Où la flamme de l’amour Salvateur brûlera toujours Pour me protéger de la haine Et m’éviter la dure peine De porter son lourd fardeau Sans avoir froid dans le dos. La rêverie est vite finie, J’entends une vache qui mugit L’eau claire du ruisseau M’invite à me jeter à l’eau. La vie continue dans le bruit Et l’espérance dans le ciel luit.