Ton cœur, un désert d’égoïsme qui nuit, Irrigué par l’ampleur de ta froide colère Forteresse qui t’isole et ne s’améliore Pas avec les années qui passent sans bruit.
Seule, ta douleur de l’enfant mal aimé Reste, amplifiée par toutes les années De rancœur qui te privent de sérénité Et t’empêchent d’accepter l’amour désiré.
De l’automne à l’été manquant d’affection Par ton choix de t’isoler, ô douce amie Ne souffre pas dans ta chair, le cauchemar est fini.
Sois ce que tu désires, mais le temps presse, Ouvre ton cœur à la chaleur de l’amour Qui fera évaporer ta colère pour toujours.