Dans mes pensées étalées sous le ciel, Je recherche les vers de ma poésie Qui voudraient que la violence ennemie Puisse se dessécher sous notre soleil.
Hélas, elle continue à faire souffrir L’humanité à la poursuite de la paix, Terrorisée, violée, sodomisée, torturée Et crucifiée laquelle incapable de bâtir
Un monde de tolérance se résigne À accepter l’inéluctable réalité, Que jamais notre terre bien aimée
Ne pourra se débarrasser de l’égoïsme, L’envie, la colère, la haine, l’utopie, Les solides piliers de la violence impie.
Alors, le poète se remet à la tâche Tel que Sisyphe, grimpe et inscrit À répétition qu’il faut respecter la vie.