Deux détonations, des blessés, Des morts, un acte terroriste Perpétré pour terrifier, semer La panique ; la haine fasciste, Politique ou religieuse en action à l’arrivée du marathon à Boston. Qui donc a commis contre la nation Américaine cet acte lâche, au nom De quelle logique peut-on tuer, Faire du mal à des êtres innocents Pour satisfaire la haine abhorrée Contre les valeurs de l’occident Ou le système politique américain. Il est temps que cesse la vile violence, Mais hélas, ce n’est pas pour demain Que les hommes en bonne conscience Triompheront de ce mal permanent Qui sape les démocraties et ouvre La voie à la tyrannie qui perfidement Perpétue la terreur brute qui couvre, Et justifie les pires excès en tuant la paix.