Le poète en nous est-il mort Au crépuscule sans remords Délaissant derrière lui, l’absurdité De ce monde pour l’eternité De l’âme à la recherche de la paix.
Ne vaut-il pas vivre en harmonie Au lieu de perpétuer l’infamie, La barbarie de la haine à l’infini.
Régnera-t-elle un jour sur terre Belle, suave, altière, légère Libérée de la haine, l’hostilité Qui nous privent de la sérénité.