Dans les souvenirs, une image retenue, Au crépuscule du soleil enflammé, Lorsque plonge la nuit douce de l’été, Me revient la lumière de ton corps nu.
Rêve ou réalité, je ressens tes caresses, Allongé sur le sable de la Méditerranée, L’amour idéalisé dans la nuit prolongée, Un retour à la jeunesse et de son ivresse.
Reviendra-t-il encor ce rêve éveillé Où l’ardeur de la tendresse sans retenue, Plongeait dans des profondeurs inconnues.
Des images fanées, rafraîchies par la brise Caline me rappellaient le ciel alexandrin, Bien vivant et pourtant mort au matin.