L’été, sous le soleil haut de midi, À l’ombre, sans bruit se cache la vie Des travailleurs fatigués, pendant Qu’allongés et heureux les estivants Sur la plage se font bronzer Pour pouvoir mieux affronter La froidure et ses rigueurs Loin de la chaleur et ses sueurs.
La mer, le bonheur au soleil Loin des soucis et d’un ciel Gris maussade qui pèse lourd Sur l’humeur qui à son tour Se chagrine et se réconforte En songeant à la saison forte Estivale qui réconfortera le cœur Et offrira un semblant de bonheur.
La saison des feuilles mortes suit Pour nous conduire sans bruit Vers les frissons de l’hiver D’où le coeur s’envolera vers Le réveil de la nature, le retour De la chaleur et la douceur de l’amour.