Immense et calme, le lac s’étend Comme tes grands yeux qui me font Désirer de plonger jusqu’au fond De ton âme pour trouver les vents
Câlins qui disperseront ma tristesse. Je te reconnais dans ma ville pleine De vivacité qui me fait oublier ma peine. La féerique harmonie enchanteresse
Ouvre à l’espoir et au renouveau Les portes du bonheur qui mûrit Dans mon cœur au bord de l’eau.
Je médite en oubliant le mauvais sort Et les sortilèges de la vie et seul compte Tes yeux qui me mèneront à bon port.