J’ai entendu toutes vos plaintes J’ai vu vos yeux figés par la peur J’ai ressenti votre malheur et douleur Vous qui viviez libre sans crainte.
Soudain tout chavira, sans votre avis L’onde marine a frappé avec rapidité Emportant tout sans rien respecter Vous laissant choqués ou gisant sans vie.
Après son retrait. vous souffrez aujourd’hui De l’horreur qui vous rend visite le soir Et vous terrorise par des rêves noirs Qui vous réveillent au moindre bruit
En sursaut. Vous priez pour échapper A ces visions atroces, aux senteurs De la mort qui vous paralysent de peur Et oublier vos remords de ressuscités.
Vos rêves éveillés, vos visions passées Ramènent les souvenirs de l’horreur De ces terribles moments où la terreur Vous a violé et fait perdre la tranquilité.
Je reponds à vos plaintes avec l’espoir A l’épouvante avec la foi et la sérénité. Je vous vois libre de la terreur, en paix Et vous entends dire au malheur au revoir.