Tu es partie sans faire de bruit, L’été, par une pluvieuse nuit Et pauvre de moi demeuré Tout seul, confus, perturbé Je te vois encor bien vivante Toi qui ne sera jamais absente De mes pensées, une longue vie Terminée, le voyage, le paradis Pour toi, le vide pour moi, Mais je garde toujours la foi De te rejoindre un jour Pour continuer notre amour Et… en compagnie des larmes Du souvenir je m’arme De patience pour retrouver Ensemble l’éternelle paix. Le 1er aout 2016