Ils avaient répondu sans hésitation A l'appel du président de partir Pour tuer les ennemis de la nation D'en finir avec eux. Prêt à mourir
Pour défenfre notre précieuse liberté Menacée par de dangereux terroristes Qui nous avaient attaqué avec audacité Pour promouvoir la cause des islamistes.
Ils savaient l'ennemi dangereux, cruel Et ils étaient prêts au sacrifice ultime Pour défendre les valeurs réelles De cette grande nation magnanime.
Ils avaient poursuivi avec ardeur, Courage ces terroristes déterminés A soumettre le monde par la peur A leurs lois archaiques et périmées.
La mort les avait souvent frolés. L' ennemi mortel n'était pas vaincu Ils revenaient déçus, traumatisés. Ils entendaient le bruit des obus
La nuit, se réveillaient en sueur Les mains moites, la poitrine oppressée Le coeur palpitant, ils avaient peur. Ils demeuraient éveillés, éffrayés
Par des images, des sons, des odeurs Du temps passé. Ils devaient se réadapter Se soigner, faire face à leur malheur. Ils étaient souvent confus, bouleversés.
Le coeur déchiré, l'âme tourmentée Ils méditaient, priaient constamment Pour retrouver la paix, la sérénité Dont ils etaient privés depuis longtemps.
Ils étaient pertubés par la violence De ce monde, le sang des innocents Les continuelles souffrances, l'absence De sagesse des dirigeants présents.
IIs devaient pour soulager leur peines Continuellement oeuvrer pour la paix En prêchant l'amour et non pas la haine, Peut-être pourraient-ils dormir satisfaits.