Il ressentait la douleur des parents De cette jeune fille , violée et tuée Par cet homme qui venait d’ être arrêté Et disait n’avoir pu faire autrement.
Les parents angoissés par son absence Pendant six jours avaient été atterés Par la découverte de son corps mutilé. Ils étaient habitués à sa présence
Son sourire, son affection, sa chaleureuse Nature leur donnait joie et bonheur. La tragédie les avait frappés par l’auteur De ce crime odieux où leur bienheureuse
Enfant fut privée de sa vie pour satisfaire Les plaisirs d’un être égoiste et vicieux. Il se demandait avec colère comment Dieu Pouvait être indifférent et laisser faire
De pareils actes criminels pour ouvrir Aux martyrisés la porte du paradis. Il était troublé par sa colère et aigri Par cet évènement qui pour finir
L’amener à questioner la sagesse Divine, ce qui le troublait au plus Profond de son âme. Il se sentait ému Et pour se soulager de sa tristesse
Il se mit à pleurer: Très bientôt Il parlerait aux parents de la victime De Dieu, de cet inexplicable crime Qui leur avait pris leur fille, sans trop
Montrer la colère ressentie par la tragedie. Il fallait dire non à la violence Oui, à la vie, l’amour, la résilience L’enfer est sur terre, aux cieux le paradis.