Voilà le temps qui passe Et le monde égoïste ne se lasse Pas de la haine et de la violence; Pourtant dans les prés la romance Continue et les blés pleins de vie Abritent les portes du paradis.
Voilà le temps qui passe Et c’est sereinement que j’embrasse La tendresse de l’amitié, le bonheur De la tolérance qui supprime la peur.
Voilà le temps qui passe Et cruellement la haine embrasse De ses baisers de feu l’humanité Toujours en manque de sérénité. À quand la fin de la barbarie Dans le respect et l’amour de la vie?