Et cet autre toi-même, sans armure Fragile enfance, souvenirs impénétrables Et ce masque que tu portes de l’autre grimaçant Comme ces gargouilles d’église Où tu cru un moment t’égarer dans ta course Et chercha dans le flanc des montagnes La source du souvenir effacé Y retrouva la mémoire de ton nom Qui es tu âme vivante, qui es tu ? Toi qui traverse les siècles de ton sourire Gêné de vivre ….