Tristesse se teinte de gris Où froideur est pareille à l'eau glacée Ombre nuancée de couleurs vives et noir sang...
Obsolescence de l'adolescence..
Tu pleures de trouver dans tes yeux... Deux Mondes différents, Et tristesse embrumée d'avoir cru un instant Que le monde rêvait avec tes yeux...
Ta révolte comme un boulet de canon.. Ta révolte est profonde, Et ta conscience ne doit pas fléchir...
Respire !
Avec tous ces coeurs disparus, Ces anges déchirés par la haine, Et ces bouches silencieuses...
Tu ne dois pas fléchir ! respire ! Enfin !
Quand ta révolte à poing fermé, Tourne dans ta tête, Tu restes avec ta solitude, à quoi bon...un tour pour rien ! Ta mémoire ne doit pas fléchir
Respire !
Mais tu n'as pas encore d'expérience, Tu le sais bien ! Toi...l'objecteur de conscience ! Tu t'arrêtes à l'escale de l'imaginaire... Le nerf de "ta guerre" ...
Si on force ton destin ! Tu coupes le cercle de ta protection, Fonces droit vers le vide de ta rélexion inconsciente... Sans savoir où sévanouira ta chute