La vie se rivalise et s’émeut de mépris Dans la descente escarpée de la détresse Quand le cœur s’assombrit et l’âme se replie El les gouttes se glissent de la joue s’empresse
Le cœur qui s’étouffe des écarts ténébreux Des nuages s’enfuient et l’orage s’avance Des heurts de l’esprit et aussi pires qu’affreux Et alors que la douleur s’élance en vengeance
Mon esprit se bouleverse et s’éclate en landau Tout en moi se défie et encore la sècheresse Mon espoir s’éteint et mon âme sans assaut Et mes bras transforment ma vigueur en faiblesse