Des frontières scindent les terres et les mers Pour que l’on aille de l’avant chercher du bien.
Des critères vils nous séparent, sœurs et frères, Pour des raisons rarement fondées et des riens ;
Elles induisent souvent des tensions et des guerres, Tandis que tout le monde devine sa part.
Oh, terrien, t’es rien, puisque tu y tiens ! Qui serais-tu, si on te vient de loin, Un être avec qui tu n’as aucun lien ? Une hyène enragée…ou un grand félin !
Tendons donc nos mains à tous nos voisins, Une fois des amis et des copains, Le patrimoine sera, point par point, Géré avec astuce et tant de soin.