La pluie s’est enfin arrêtée, Je peux, désormais, somnoler. Lizst, Consolation Me rappelle avec toi mon désir de passion.
Mais tes pensées labyrinthiques, Tes délires sceptiques, La saveur de tes espoirs oniriques, T’ont lié à des amours platoniques.
Et, qu’il est difficile de briser La déserrance dont tu te pâmes ! Et qu’il est ambitieux d’espérer griser De sursauts, non onaniques, les restes de ton âme !
Et, je repense à ceux qui n’ont jamais dit pardon, Pour leurs multiples abandons. Et, je conçois qu’il soit chimérique, D’espérer de l’Humain quelque action Homérique.
Alors, tu te complais à asséner Que nos erzates d’envols en papier mâcher, Nos rêveries illusoires emportant, avec elles, l’être aimé, N’ont rien que tu puisses envier, rien pour te faire vibrer.
Alors, tu t’enivres de ce passé auquel tu juras fidélité, Qui, parce qu’il s’est enfui à jamais, t’a délié, Du présent, porteur indolent de nouveaux serments ; Du futur, messager hypothétique de nouveaux ressentiments.