Hors le lait maternel et le sang Rien n’a de goût éternel, mon amour Je ne veux donc voir de rides sur ton front Ni de cheveux grisonnants Fais battre les tambours Qu’éclatent les bourgeons aux arbres Réveille le printemps jusqu’au cœur des "Montagnes maudites" Pour en secouer la malédiction. La fille gracieuse qui va chercher l’eau à la source Marie-là Et invite les sept confins à ton mariage. Mon amour, Hors le lait maternel et le sang Rien n’est éternel.