La confiance m'a quittée. En cet automne gelé Entre les feuilles humides et fanées Protégeant mon émoi fragilisé, Je cache mon paraître censuré.
Le gris du ciel ombragé, Dévoile les âmes cachées Dont les mots peuvent blesser Mon esprit éveillé d'une âme héritée. La blessure tant ignorée apparaît
De ces natures dénudées, Anéantissant la demoiselle écorchée, Souffrante, agonisante, Plongée dans un espoir insuffisant.
Et je craque de souffrance Sur la route d'errance Où j'hésite en vassillant rudement. L'automne est la mort rêvée de la confiance
Echouée, Quand les dures pensées Massacrent nos blessures emergées.
Enterrez mon estime Que je parte en exil ! Que tout mon corps m'abandonne ! Je craque.