Au jour levé, comme un barrage, Laissant jaillir un trop plein d’eau, Il semble, au bois, que ses branchages, Salvateurs d’un lumineux flot, Font germer un doux paysage.
De sous l’écorce un rire elfique, Puis c’est l’envol des invisibles, Partit chasser de mélodiques Chants, élégies, panégyriques De la vie simple au cours paisible.
Faisons d’une ecchymose un drame, La mort nous en sera bénigne, Nous cueillons les épithalames Dans le pré venteux où la vigne Jamais, oh ! jamais ne se pâme !