L'air alourdit les eaux d'or, La flore effleure un enfant, "Jolis oiseaux gazouillants!" Dans la mousse enfermé dort.
Les entrelacs sanglotants sont tristes De n’aimer l’humain qu’en son sommeil. Celui-ci lape un moment la sève, Puis l’oublie dès que le jour se lève. Et les sanglots, larmoyants, résistent, Pour l’enfant, il n’est point de réveil.