J’aime penser de l’infiniment grand à l’infiniment petit, Et curieusement je me mets au milieu ! Au milieu des pôles infiniment près, infiniment loin Je me crois sur le fil tendu des attractions Petit homme que je suis. Je m’octroie des droits et des devoirs Infiniment long, infiniment court … Car, Je suis nulle part, la molécule en moi, le néant au dehors, Diffus comme le vent, mélangé comme la mer…