Les longs sentiments demeurent Sans étale, secret aux yeux des autres Leurs ballastes de fiel s’épanche sous leurs côtes Et n’entamerons jamais les cuirassiers du cœur.
Pour te donner chaque jour un appétit des heures J’ai foi en ce long-cours, j’ai foi en ce langage Tutelle silencieuses de nos désirs sauvages Longues… Les passions qui demeurent.
Contre les vents, contre les doutes, Tout contre moi le long des routes Que tu restes toujours.
Ondine de mes lemmes De mes plonges si blêmes Noies-moi de ton amour.