Dans mon corps en silence Lorsque tout est en ordre Le désir éteint, l’avenir enfuit, Le passé dort paisiblement Plus rien n’a d’importance … C’est l’unique langage C’est l’affront à la vie Phasme du seuil Aux yeux clos J’adhère A l’inexistence.
Un souci une pensée Trouble l’instant précieux Je suis remplit d’un cœur qui cogne Mes artères bousculent les sens uniques, Et mon regard s’éventre sur un monde frontal.