Aux belles flambées fuyons encore, Seul le bois blanc s’y laisse entendre. Soyons durs, de ces arbres forts. Que les silex souffrent à faire prendre.
Chariots de feux et autres brûlots. Aux autres… pour ma part je m’abstiens. Soyons de ces braises qui sortent du lot. Noircies mais entières quand le foyer s’éteint.
Ne crépitons pas entre deux chenets, J'aime à rêver de ces feux sauvages ; Ceux qui jamais ne naquirent d’éclair déchaîné, Où pourtant les terres fument, malgré les pluies d’orage.