La nuit des bras me portent. Là, où l’endormissement point. M’ouvrant aux chants… en sorte. Mais ce traître de plume ! pique en un point, Formant des Lacs d’oppositions Où les Feuilles auréolées languissent. De nature glissante, Les mots s’enlisent Et le pieux ose ! défiant mes positions.
C’est l’heure où les fantômes s’agitent Complices, je goûte aviné sous leurs gîtes Ils me transportent vers ces leurres, Du silence, des nudités du soir. Oeils pochés et noirs, indu à ces heures, Leurs bras me bercent, et j'entends des histoires…