Tu aurais aimé des vers en ton honneur, Un rêve fragile que ma voix t’offrirait. J’ai voulu, rayé tant d’erreur Que las je n’ai su comment te louer.
Mon cœur s’est proposé gaiement, Il a dessiné la splendeur qui t’éclaire, Tes mains fines qui s’enlacent gentiment, Tes joues où ruissellent parfois des larmes amères.
Mais la raison murmura : nulle beauté N’est digne d’être encensé.. . Alors j’ai élevé ton âme aux plus hauts cieux. Sur un piédestal, tu te sentiras mieux…