Dans la demeure sublime, une âme souffrante. Au dehors des jardins offrent lumière et couleurs, Des oiseaux chantent une mélodie innocente. A l’horizon, l’airain sonne, las, les heures.
Mais nul charme vraiment réel pour l’homme souffrant. La demeure, fut-elle superbe, semble détestable. La solitude a laissé sur le sol d’un bois brillant Quelques traces d’une poussière pitoyable.
« L’on souffrira, peut être, mais c’est mieux ainsi.. » Dernier souffle avant le temps des silences. Il l’aima, il l’aime encore. Pauvre déchéance !
A l’aurore nouvelle, quelques rossignols pépient. Et dans la demeure sublime, sur le bois brillant : Un silence, une solitude, un homme, du sang…