Ma poésie est morte. Regardez périr son cercueil Les années passent, mais je pleure encore son deuil Je me souviens de ces rythmes et de ces consonances Qui faisaient d'elle une mélodie et des vers une danse
Je me souviens qu’elle parlait en rimes et en prose Qu’elle disait souvent : « quand on aime, la vie est rose » << Je me souviens >> Hélas, c’est tout ce que je peux dire Car ma poésie est morte, je n’en garde que le souvenir.