Consolant l’accablé, relevant le pennon, Ta parole est pour moi la joie et l’allégresse Qui, offerte à mon cœur, le remplit d’une ivresse Et le fait sautiller en haut du Parthénon.
On m’utilise aussi pour invoquer ton nom . Vouloir me donner tort, c’est nier la promesse Que tu scindes les reins et sème la sagesse, Elevant ton pouvoir, ta gloire et ton renom.
Je ne crains pas la nuit, marchant avec confiance, Guidé par l’esprit saint et par ta bienveillance, La main qu’un père aimant tend à son fils perdu.
Elle va croître encore et inonder la terre, Touchant l’âme du juste et rejetant son frère Pour enfin délivrer du pêché suspendu.