Pas un souffle. Pas un bruit. Seule la nuit. Torpeur d’un lac bleuté, au rivage poudré. Hyménée de rêves et d’éternité. Terre et ciel confondus. Rien ne luit.
Pas un souffle. Pas un bruit. Seule la nuit. Enivrante sensation d’un corps liquéfié. Navigant au cœur d’un magma déifié. Se ressourçant d’essence vitale. Et en jouit.
Pas un souffle. Pas un bruit. Seule la nuit. Lyre sensorielle immortalisée Par une harmonie sublimée A la quintessence de l’infini.