Je lance un s.o.s., Je suis perdu dans un sas, Ce n'est pas si sensas, Je ne vous le recommande pas. Coincé entre quatre murs et deux portes, Je ne dispose pas de clé. Pourtant, il faut que je sorte. Des voix me disent que c'est momentané, Une lueur pointe le bout du nez, Une des portes me souffle, Retourne en arrière. Ce serait l'enfer. L'autre, me dit, Ici, c'est le paradis. Il est si joli, paraît-il ! Impression ou invention ? Fiction ou réalité ? Suis-je fou ou écervelé ? Cette sensation me poursuit et me ronge l'existence, Il est temps d'agir, Ou qu'une personne m'explique le fond cette histoire. Je n'arrive pas à y croire. Peut-être est-il déjà trop tard. Enfermé, piégé, Il me reste juste assez de sang et des idées, Pour m'évader.
